Bonjour à tous et à toutes !
La première chose que vous avez dû remarquer en retournant sur mon blog, c’est que j’ai changé le design ! Il est tout nouveau, tout frais, tout neuf et j’espère qu’il vous plaît. En tout cas, il me plait beaucoup et c’est assez important. Cela faisait un moment que j’avais envie de quelque chose de plus moderne et de plus doux, c’est maintenant chose faite ! N’hésitez pas à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous pensez de ce design, même pour émettre des critiques. Une amie m’a fait remarquer que ma barre de navigation et mon footer était trop foncé et mastoc, j’ai pu en changer la couleur pour mettre quelque chose de moins agressif et c’est mieux pour tout le monde.
Autre information soit dit en passant : j’ai repris les cours ! Donc c’est terminé la glande, il faut que je me remettre au travail. Néanmoins, j’apprécie écrire mes articles le soir, en rentrant de la fac. Ça me change les idées. Quoi que, ma formation concerne le web, donc ça risque de ne plus me changer vraiment les idées, mais passons.
Maintenant que tout ça est dit, je peux entrer dans le vif du sujet, à savoir mon article du jour. La semaine dernière, je vous ai parlé des stéréotypes de héros de roman. Eh bien cette fois, je vais m’attarder sur les stéréotypes d’écrivains ! Parce qu’il est important de ne pas se prendre trop au sérieux et qu’il faut apprendre à rire de soi. Et mine de rien, avoir conscience de ses défauts, c’est surtout un premier pas pour un jour les corriger (ou pas ?). Bien sûr, ma liste est non-exhaustive, je vous invite à la compléter si le cœur vous en dit.
Soit dit en passant, le concept de cet article me vient d’un autre article sur les stéréotypes de joueurs de RPG lu sur Infinite-RPG (blog où je suis également rédactrice). Forcément, il y a des choses qui se recoupent un peu.
Dans la famille Emmerdeur…
Le gamin
C’est un petit nouveau ! Disons que c’est un gentil troll, très mignon au premier abord parce qu’il ou elle n’a que 12 ou 13 ans, mais avec un potentiel chiantise totalement disproportionné en comparaison à sa taille. Le gamin est impatient, il veut réussir tout dans le mois qui vient et projette déjà d’écrire une saga à succès en 10 tomes. On ne veut pas lui faire de mal, ni briser ses douces illusions, mais il a souvent une (trop) grande gueule qui lui attirera les foudres des « anciens ». Le gamin ne fera pas long feu dans le milieu cruel des écrivains 2.0, de toute manière deux mois plus tard, il se sera trouvé une nouvelle passion (les bracelets élastiqués par exemple).
L’adolescent rebelle
Avec quelques années de plus que le gamin, l’ado rebelle gagne également en chiantise. Et pour cause : il croit que, parce qu’il a la majorité sexuelle, il est suffisamment mûr et prêt à sortir de sa chrysalide pour devenir un beau papillon. Etant rebelle, il est contre toute forme d’autorité et cela se ressent dans ses textes. Il mettra en scène des adolescents encore plus rebelles que lui dans ses écrits (à l’image de l’ado qu’il voudrait être) et s’essayera à l’écriture de scènes de sexe absolument risibles, car manquant cruellement de documentation.
L’ambitieux
Vous vous souvenez du gamin et de sa saga en 10 tomes ? C’est mignon quand c’est un gamin, mais quand c’est un adulte, c’est nettement moins choupi. L’ambitieux s’imagine déjà un avenir radieux, avec des paillettes et du fric plein les poches. Il projette d’écrire le nouveau Game of Thrones ET le nouveau Harry Potter, mais n’a souvent écrit qu’un prologue et quelques annexes (c’est ce qu’il y a de plus important à ses yeux : les annexes). Le problème de l’ambitieux, c’est qu’il n’écrira jamais son tome 1. Et c’est bien pour ça qu’on se paye sa pomme.
Le susceptible
Il publie ses écrits ou est édité, et propose donc à des lecteurs de lire son travail, pourtant il n’acceptera pas la moindre critique. S’il est édité, il pourra toujours se cacher derrière sa maison d’édition, le susceptible devient un problème lorsqu’on le croise sur Internet. Il va par exemple publier ses œuvres d’art sur un forum avec une petite phrase « Je sais que c’est nul, ne soyez pas trop dur svp. » Le gentil lecteur qui n’aura pas flairé le poisson prendra cette note comme un appel à la critique constructive et se décarcassera pour pointer les faiblesses du texte de manière à aider l’auteur à les corriger… mais le susceptible montera immédiatement sur ses grands chevaux, hurlera à l’injure et supprimera son texte sans plus de formalité.
L’incompris
Si le susceptible ne supprime pas purement et simplement ses textes, il se bombardera lui-même Grand Incompris. Vous n’avez pas compris où il voulait en venir ? C’est seulement parce que vous êtes un esprit trop simple et que son texte n’est pas accessible. Vous comprenez, il est étudiant en philosophie (il prépare une licence, attention !), donc il utilise un langage parfois trop compliqué pour le commun des mortels. Il aborde des thèmes difficilement accessibles, c’est normal que vous ne compreniez rien, ce n’est pas de votre faute. Si vous croyez qu’il s’abaissera à vous donner des explications, vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu’au coude !
Le torturé
J’écris parce que c’est vital pour moi. Si je n’écrivais pas, je deviendrais fou. J’ai besoin d’écrire tout ça, c’est plus fort que moi. En règle générale, le torturé trouvera le moyen de sortir cette justification. Il a connu des choses difficiles, a traversé une période de dépression et s’en est sorti grâce à l’écriture. A cause de ça, il n’admet aucun critique (cf. le susceptible) et n’hésitera pas à mettre en avant ses problèmes personnels pour inviter son interlocuteur à le prendre en pitié. Il se prend pour le nouveau Rimbaud, dans les faits, c’est seulement un chieur.
Le narcissique
Celui qui écrit son auto-biographie. Il a entre 15 et 30 ans et il pense avoir une vie suffisamment bien remplie (et surtout intéressante !) pour être écrite. C’est vrai qu’il a perdu son meilleur ami dans un accident de la route quand ils rentraient de soirée pour les 18 ans de Mathilde. Son expérience peut être vitale aux autres… Ce qu’il ne comprend pas, c’est que l’autobiographie de Martin Dupont, 24 ans, boulanger dans la Creuse, tout le monde s’en branle. Le problème avec le narcissique, c’est qu’on ne peut pas lui dire poliment que son histoire ne vaut peut-être pas le coup, ça revient à l’insulter en personne. Forcément, c’est de sa vie qu’il s’agit…
Le parano
Il parlera beaucoup de ses écrits et des difficultés qu’il rencontre, mais ne mettra jamais en ligne un extrait de plus de 300 mots. Vous comprenez, son idée est tellement géniale que si quelqu’un la lit, il aura forcément envie de la lui piquer et d’écrire LE best-seller de l’année. Le parano vit dans la peur constante du plagiat, au point de devenir particulièrement énervant. En effet, il se plaint souvent de ne pas savoir si son idée vaut quelque chose, mais comme il refuse de partager le moindre extrait, il n’a jamais de critiques. Ne prenez pas la peine d’expliquer à un parano comment protéger ses textes, vous vous heurterez à un mur. Parce qu’après tout, on ne sait jamais, c’est déjà arrivé à certains auteurs de se faire plagier des idées.
Le nul en orthographe
Celui-ci a très peu de chances d’être pris au sérieux par qui que ce soit. Il aura beau avoir de très bonnes idées, son faible niveau en orthographe lui sera toujours renvoyé en pleine figure. En même temps, c’est souvent dramatique. Non, on ne peut pas se dire écrivain et confondre à/a ou et/est. Le nul en orthographe cherche parfois à se justifier grâce à des excuses douteuses. L’appel à la dyslexie est très répandu, mais sur Internet, le plus fashion reste encore de s’inventer des origines étrangères.
Dans la famille Sérieux…
Le méthodique
Il étudie avec soin toutes les méthodes d’écriture. C’est un grand amateur de livres aux titres prometteurs « Devenir écrivain en 365 jours » ou « 10 leçons pour écrire un best-seller ». Il pense connaître tous les mécanismes de l’écriture et tous les secrets qui font qu’une histoire se vend. Il a tendance à penser que tout s’apprend dans les livres et méprise ceux qui n’ont aucune méthode. Il parle beaucoup et se cache derrière de grands discours. Mais dans les faits, il n’a toujours pas écrit de best-seller et aucune maison d’édition n’a encore accepté son livre.
Le (sur)productif
Celui-là écrit comme il respire. Il noircit des pages et des pages. Et ce, à une vitesse impressionnante. Il attise souvent la jalousie des autres, à cause de sa productivité. Le problème, c’est qu’il a tendance à ne pas retravailler ses textes, bien trop occupé à en écrire de nouveaux. Il termine ses histoires, mais ne les peaufine pas comme il faudrait. Dès qu’il a une idée, il l’écrit et range le texte dans un coin après le point final. C’est en quelque sorte le roi des premiers jets !
L’obsessionnel
Il travaille sur le même univers depuis des années. C’est un Tolkien ou un Martin à sa manière. Il est très doué pour créer des grandes familles de personnages, développer des intrigues secondaires, pour dessiner des cartes, inventer une mythologie, des régime politiques… Le problème est que son travail est chronophage. Il a parfaitement conscience que son travail est sans fin. A cause de l’écriture d’annexes en tous genres, il en oublie parfois d’écrire l’histoire en elle-même…
Le scénariste
Cet écrivain est très doué pour inventer des histoires. Des dizaines d’histoires. Des centaines ! Il écrit des fiches, des plans, fait des chronologies. Il est très méthodique et prépare toujours ses histoires de façon à ce que l’écriture soit rapide. Le problème… c’est qu’il n’écrit pas. Il ne sait pas quel scénario choisit, alors il écrit des scénarios en espérant, un jour, trouver le bon.
Le professionnel
Attention mesdames et messieurs ! Le professionnel vit de ses livres, on ne joue pas dans la même cours. Cet écrivain a réussi, et il en a souvent bavé. Il ne roule pas forcément sur l’or, mais il peut se vanter de réussir joindre les deux bouts. Il fait rêver et les petits écrivaillons sont toujours suspendus à ses lèvres. Mais monsieur (ou madame) n’a pas le temps pour discuter avec le bas peuple. Au mieux, vous réussirez à lui arracher une dédicace au Salon du Livre. Ce n’est pas si mal…
Le vieux de la vieille
Il impose le respect de par son ancienneté. Il a déjà quelques livres édités à son actif, mais n’a pas réellement percé (du moins, pas assez pour vivre de ses droits d’auteur). Il a souvent de bons conseils et son expérience peut être réellement profitable aux petits nouveaux. Le problème est qu’il a tendance à prendre les autres de haut, justement à cause de cette fameuse expérience et de la longueur de la liste de ses publications. Il aime se poser en connaisseur, n’hésitant pas à imposer son point de vue. Parce que lui, il sait ce que c’est, être écrivain.
Dans la famille Glandeur…
L’écrivain du dimanche
Il se dit écrivain… mais n’écrit pas. Enfin si, il a écrit une nouvelle, on ne sait plus vraiment quand, il y a un ou deux ans peut-être. Mais maintenant il n’a plus le temps, parce qu’il a une vie bien trop remplie ! Il n’avouera pour rien au moins que l’écriture est un simple loisir pour lui. Non, c’est bien du sérieux ! Mais il n’a plus trop d’inspiration (depuis sa nouvelle il y a 2 ans), il attend seulement la grâce.
Le procrastineur
Il parle beaucoup d’écriture, il a toujours des tas d’idées de romans, des conseils à donner, des critiques à écrire… mais il n’écrit pas. Pas parce qu’il n’a pas le temps ! Pas non plus parce qu’il manque d’inspiration ! Au contraire ! Seulement, il… on ne sait pas vraiment ce qu’il fait, en réalité. C’est un pilier de bar, tout le monde le connait, mais il passe sa vie à ne pas écrire. Il procrastine, tranquillement. Un jour peut-être, il écrira. En tout cas, il y croit !
Le dispersé
Celui-là, il écrit ! Son problème, c’est qu’il ne sait absolument pas s’organiser. Résultat, il ne finit jamais rien. Il écrit des bouts de chapitres, des prologues et des épilogues (avec une préférence pour ces deux derniers), mais ne trouve jamais le temps/l’envie/la motivation de combler les trous. Pourquoi ne s’essaye-t-il pas à des formats courts qu’il pourrait finir ? Parce qu’il pense être réellement fait pour écrire des romans ! Est-il réellement besoin de préciser que le dispersé a toujours entre 3 et 10 projets en même temps ?
Le branleur
Attention, il écrit celui-là ! J’ai eu quelques difficultés à le classer dans mes petites catégories car je l’ai rajouté au dernier moment. Mais comme le branleur est celui qui ne se foule pas trop, alors je le mets avec les glandeurs. Le branleur, c’est celui qui embobine les lecteurs avec de jolies phrases jetées plus ou moins en vrac sur le papier. Il n’y a jamais d’histoire dans ce qu’il écrit, c’est un peu comme s’il se branlait sur son clavier. On peut aussi dire qu’il se regarde écrire et trouve ça cool. C’est une espèce plus répandue qu’il n’y paraît. Souvent il écrit suffisamment joliment pour éviter les critiques virulentes, mais on n’est pas dupe pour autant ! Si on enlève les mots compliqués, les jolies descriptions et les métaphores filées, il ne reste plus grand chose.
Dans la famille Emotif…
Le bisounours
Il va prendre ses personnages en affection. Un peu trop. Vraiment trop… A tel point qu’il aura bien du mal à les mettre dans des situations désastreuses (et donc intéressantes !). Chez lui, même les méchants auront un bon fond. C’est parce qu’il a eu une enfance difficiiiiiile… Et à la fin, tout le monde sera heureux. Il aura eu beau prévoir une fin triste, le bisounours ne pourra pas s’empêcher de terminer son histoire avec une avalanche de guimauve. Tout sera beau, tout sera rose à la fin, quand bien même il aurait réussi à caser quelques moments difficiles pour donner des émotions à son lecteur chéri. En tout cas, ne vous inquiétez pas pour les personnages du bisounours : ils seront toujours entiers et heureux à la fin !
Le romantique
Les histoires d’amour, c’est son kiff. Il n’écrit des histoires que pour le plaisir de caser des personnages ensemble (si possible ayant des caractères complètement opposés). Il est capable d’inventer des contextes impressionnants, simplement pour servir de fond à une belle histoire d’amour. Cela peut être impressionnant… comme risible. Mais souvent, il est assez doué dans ce qu’il fait. Son problème majeur est qu’il a du mal à doser et tombe souvent dans l’excès, que ce soit du côté bisounours ou tragique.
Le sadique
Le cauchemar des lecteurs. Il a une imagination débordante lorsqu’il s’agit de mettre ses personnages dans les ennuis jusqu’au cou, et encore plus pour les tuer. Pire, il s’amuse de la détresse de ses lecteurs ! Il est capable de tuer exprès le personnage le plus populaire ou de briser le couple que tout le monde attendait. Un exemple ? G.R.R. Martin ! Les fins heureuses ? Le sadique en mange au petit-déjeuner.
Le masochiste
Celui-là est un mélange des trois types précédents. Il aime les belles histoires qui finissent bien, que ses personnages se fassent des bisous, mais… reste un gros sadique avec ses personnages. Résultat, il se fait du mal à lui-même en se forçant à écrire des histoires horribles où l’un des protagonistes mourra à la fin sans avoir eu le temps d’avouer son amour à son bien-aimé. Ou juste à temps, sur son lit de mort. Le masochiste a bien du mal à s’accepter lui-même, résultat il perdra parfois son temps dans l’écriture de fins alternatives pour contenter son côté bisounours contrarié.
Et vous ?
Alors personnellement, je pense avoir du dispersé masochiste obsessionnel… Mais j’ai été ado rebelle, et (sur)productif aussi. Disons que je change beaucoup ! Et vous ? Vous êtes quoi ? Avez-vous déjà rencontré ces spécimens ? Ou peut-être en avez-vous connu d’autres que vous voulez ajouter ! N’hésitez pas à utiliser le petit cadre commentaire, il est là juste pour vous !
23 comments
Mon dieu, j’ai l’impression d’avoir tous les clichés du monde ! Avec le Parano, l’Incompris et le Dispersé sur le podium quand même…
Article très sympa, merci !
Bon bah moi, ce serait plutôt la catégorie « gamin ». J’ai treize ans, j’écris un roman mais je suis 114 pages (lol) ! Mais ça fait un an et demi que je suis dedans …
Bon courage !
D’après ta descriptions des stéréotypes,, je me suis reconnue comme Surproductive, Bisounours et Sadique. Mais bon, quel plaisir de torturer ses personnages et de les voir heureux quelques jours après… Non ? Je me sens seul lol
Bref Merci beaucoup pour cet article de qualité une fois de plus ! ;)
Coucou j’ai adoré :) je suis scénariste dispersé romantique…y’a du boulot !!
Tiens ! On se ressemble pas mal ! Moi aussi je me suis reconnue dans le dispersé, le (sur)productif et le masochiste !
Très complet (une fois de plus…) ! Je crois avoir rencontré au moins un exemple de tous les auteurs que tu viens de décrire… Je ne sais pas si c’est amusant ou simplement désespérant… Mais comme je suis positive (ou du moins je me convaincs de l’être) on va penché pour la première possibilité !
On doit beaucoup se ressembler au niveau de nos habitudes d’écriture car d’après tes descriptions je suis une Dispersé Masochiste (avec un brin de paranoïa… je l’avoue honteusement).
Merci pour le partage et à très bientôt car je continue mon exploration de ton blog !
Ooks.
Merci, je trouvais ça vraiment marrant de lister tous ces types d’écrivains :P
Très chouette article!
Si je suis quoi que ce soit, je suis écrivain du dimanche et procrastinateur, j’imagine… Oh mais ca va, un jour je m’y mettrai, j’ai la vie devant moi!
Merci et bon courage à toi, écrivain du dimanche !
Il est magnifique cet article !! X) Je pense que je suis un peu de tout ! Je me suis reconnue un peu partout ^^
Merciiii ça me fait plaisir ^^
Le nouveau design est superbe ! J’aime beaucoup ce vert (menthe ? céladon ?)
Et sinon, méthodique ascendant masochiste (gloups) et tu aurais pu ajouter une autre : l’optimiste qui croit dur comme fer qu’un jour ses salades intéresseront quelqu’un en dépit du monde impitoyable de l’univers de l’édition : )
Vert Mint :P
Effectivement optimiste aurait pu être ajouté x)
Merci !
Ah ah, chouettes catégories ! Pour ma part je me range quelque part entre l’écrivaine du dimanche et la dispersée, avec un soupçon de sadique. Bref, j’aime bien imaginer plein d’histoires en attirant plein d’ennuis sur mes personnages, mais elles ont du mal à sortir de ma tête…
J’ai déjà croisé l’obsessionnel, le surproductif et le susceptible ! De toute façon sur les sites de fanfictions on croise de tout héhé.
J’aime bien ton nouveau design, bonne continuation !
Merci pour mon design et merci pour ton commentaire ! :D
Super article, bien pensé et bien construit.
Selon ce que tu écris je suis…
Sadomasochiste. D’accord. Maintenant, je le saurais x).
Continue bien ton blog, je l’aime vraiment!
Ah je suis désolée pour toi xD (ou pas !)
Merci beaucoup, je vais continuer !
Oh bah dite donc. Ça faisait un moment que je n’étais pas passé !
En tout cas, ça fait du bien d’avoir autant d’article à lire. Ils sont toujours aussi intéressant. Pour celui-ci, en particulier, je me suis vraiment bien marré ! Je me retrouve donc dans 3 catégorie. C’est moche. Enfin, au moins, j’ai pas l’impression d’être dans les emmerdeurs, c’est déjà pas si mal. Le Surproductif, le Scénariste et le Masochiste.
…
Je crois que je vais aller me pendre, quand même. Juste au cas où…
‘Fin bref, merci pour cette bonne tranche de rire x3
~~ Bye ( avec beaucoup de retard, pardon T_T )
Mais non ce n’est pas moche, je pense que c’est normal :D
Merci pour ton commentaire ^^
Merci pour cet article, qui m’a d’autant plus fait rire que je me reconnais dans certaines catégories :lol:
Le nouveau design de ton blog est très classe ;)
Haha ravie de t’avoir fait rire :D
Merci o/
Il n’y a pas longtemps je suis tombé sur un magnifique spécimen de susceptible. Le stéréotype incarné.
Sinon, j’espère ne pas faire partie de la famille emmerdeur, ça m’embêterait un petit peu. Par contre en touillant les portraits des familles suivantes, je finis par me retrouver. Seule inconnue, l’analyse n’a pas encore révélé la proportion de branleur qui me constitue.
Je pense qu’on doit tous avoir un petit côté emmerdeur x) Seulement chez certains c’est plus prononcé que d’autres ! Et puis on est pas toujours objectif quand il s’agit des autres x) Ni de soit d’ailleurs !
Merci pour ton commentaire ^^